Lavage de cerveau

Manipulation psychologique
Manipulation psychologique

La stratégie de la diversion

Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l'attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d'informations insignifiantes. La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s'intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l'économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique. "Garder l'attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser ; de retour à la ferme avec les autres animaux." (extrait de "Armes silencieuses pour guerres tranquilles")

 

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La télévision est l’arme la plus puissante de la guerre psychologique de toute l’histoire

C’est la base même du programme de contrôle de pensée

 

REVEILLONS NOUS Bientôt Il Sera Trop Tard 

(Vidéo à voir absolument)

http://www.dailymotion.com/video/xbk285_reveillons-nous-bientot-il-sera-tro_news 

Programmation du cerveau:

Créer des problèmes, puis offrir des solutions
Cette méthode est aussi appelée "problème-réaction-solution". On crée d'abord un problème, une "situation" prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu'on souhaite lui faire accepter. Par exemple : laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. Ou encore : créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics.

La stratégie du dégradé
Pour faire accepter une mesure inacceptable, il suffit de l'appliquer progressivement, en "dégradé", sur une durée de 10 ans. C'est de cette façon que des conditions socio-économiques radicalement nouvelles ont été imposées durant les années 1980 à 1990. Chômage massif, précarité, flexibilité, délocalisations, salaires n'assurant plus un revenu décent, autant de changements qui auraient provoqué une révolution si ils avaient été appliqués brutalement.

La stratégie du différé
Une autre façon de faire accepter une décision impopulaire est de la présenter comme "douloureuse mais nécessaire", en obtenant l'accord du public dans le présent pour une application dans le futur. Il est toujours plus facile d'accepter un sacrifice futur qu'un sacrifice immédiat. D'abord parce que l'effort n'est pas à fournir tout de suite. Ensuite parce que le public a toujours tendance à espérer naïvement que "tout ira mieux demain" et que le sacrifice demandé pourra être évité. Enfin, cela laisse du temps au public pour s'habituer à l'idée du changement et l'accepter avec résignation lorsque le moment sera venu. Exemple récent : le passage à l'Euro et la perte de la souveraineté monétaire et économique ont été acceptés par les pays Européens en 1994-95 pour une application en 2001. Autre exemple : les accords multilatéraux du FTAA que les USA ont imposé en 2001 aux pays du continent américain pourtant réticents, en concédant une application différée à 2005.

S'adresser au public comme à des enfants en bas-âge
La plupart des publicités destinées au grand-public utilisent un discours, des arguments, des personnages, et un ton particulièrement infantilisants, souvent proche du débilitant, comme si le spectateur était un enfant en bas-âge ou un handicapé mental. Exemple typique : la campagne TV française pour le passage à l'Euro ("les jours euro"). Plus on cherchera à tromper le spectateur, plus on adoptera un ton infantilisant. Pourquoi ? "Si on s'adresse à une personne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en raison de la suggestibilité, elle aura, avec une certaine probabilité, une réponse ou une réaction aussi dénuée de sens critique que celles d'une personne de 12 ans." (cf. "Armes silencieuses pour guerres tranquilles")

Faire appel à l'émotionnel plutôt qu'à la réflexion
Faire appel à l'émotionnel est une technique classique pour court-circuiter l'analyse rationnelle, et donc le sens critique des individus. De plus, l'utilisation du registre émotionnel permet d'ouvrir la porte d'accès à l'inconscient pour y implanter des idées, des désirs, des peurs, des pulsions, ou des comportements...

Maintenir le public dans l'ignorance et la bêtise
Faire en sorte que le public soit incapable de comprendre les technologies et les méthodes utilisées pour son contrôle et son esclavage. "La qualité de l'éducation donnée aux classes inférieures doit être de la plus pauvre sorte, de telle sorte que le fossé de l'ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures." (cf. "Armes silencieuses pour guerres tranquilles")

Encourager le public à se complaire dans la médiocrité
Encourager le public à trouver "cool" le fait d'être bête, vulgaire, et inculte...

Remplacer la révolte par la culpabilité
Faire croire à l'individu qu'il est seul responsable de son malheur, à cause de l'insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l'individu s'auto-dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l'un des effets est l'inhibition de l'action. Et sans action, pas de révolution !...

Connaître les individus mieux qu'ils ne se connaissent eux-mêmes
Au cours des 50 dernières années, les progrès fulgurants de la science ont creusé un fossé croissant entre les connaissances du public et celles détenues et utilisées par les élites dirigeantes. Grâce à la biologie, la neurobiologie, et la psychologie appliquée, le "système" est parvenu à une connaissance avancée de l'être humain, à la fois physiquement et psychologiquement. Le système en est arrivé à mieux connaître l'individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela signifie que dans la majorité des cas, le système détient un plus grand contrôle et un plus grand pouvoir sur les individus que les individus eux-mêmes.

Voyez plutôt...

 

Machine programmé la mort prématurée des produits

L'obsolescence programmée, un gaspillage de masse

L'obsolescence programmée est un moyen qui consiste à réduire la durée de vie d'un produit vendu sur le marché, en employant des techniques avancées plus ou moins brutes. Cette pratique permet de pousser, en quelque sorte, le client à consommer toujours plus.

Un peu d'histoire

En 1925, les ampoules électriques que nous achetions pouvaient avoir une durée de vie allant jusqu'à 2 500 heures. Deux ans plus tard, la durée de vie de ces ampoules s'était réduite à 1 000 heures. C'est en voyant leur chiffre d'affaires chuter que les constructeurs ont alors cherché le moyen de le redresser. Et lorsqu'ils se sont rendu compte que vendre des produits de qualité ne suffisait plus, ils ont trouvé le moyen de limiter la durée de vie d'un produit afin de pousser les consommateurs à acheter. Il en résulte une hausse du chiffre d'affaires, engendrée par la mort prématurée des produits des consommateurs.

Pourtant à la même époque, alors qu'on se lançait à peine dans cette recherche qui pousse à la consommation, des brevets ont été déposés sur des ampoules qui avaient des durées de vie de plus de 100 000 heures. Mais ces brevets ont été laissés dans l'oubli, ou même rachetés par d'importantes sociétés qui craignaient pour leurs parts de marché.

Actuellement

Ce n'est donc pas par hasard si notre société consomme toujours de plus en plus, puisque l'obsolescence programmée est devenue complètement banale. Les constructeurs n'hésitent plus à limiter la durée de vie de leurs produits, et ce par des moyens parfois inimaginables.

 

Un cas très courant : celui de l'imprimante jet d'encre

Un informaticien possédant une imprimante Epson, lorsque celle-ci a brusquement cessé de fonctionner, s'est rendu compte que la durée de vie d'une imprimante était fixée dès le départ par les ingénieurs. Après quelques recherches sur le net, il a vu qu'il n'était pas le seul à avoir ce problème.

Il s'est alors lancé dans une enquête qui l'a amené à contacter le service client et à se rendre dans divers magasins pour faire réparer son imprimante. Mais les réponses qu'il reçut étaient surprenantes : tous lui ont répondu qu'il était préférable d'acheter une nouvelle imprimante, car cela revenait à moins cher.

Toutefois, il ne s'est pas laissé décourager et a surfé sur des forums à la recherche d'une solution.

Puis, il a finalement trouvé une réponse à son problème : une puce EEPROM mémorise le nombre de pages imprimées (en l'occurrence 18 000, pour son imprimante). Une fois ce nombre dépassé, l'imprimante se bloque automatiquement : elle n'imprime plus rien et affiche le message « une pièce de l'imprimante doit être changée ».

En cherchant encore un peu, il a découvert un petit logiciel libre russe qui lui a permis de remettre ce compteur à 0. Une fois le logiciel exécuté, son imprimante s'est mise à fonctionner sans problème.

Morale de l'histoire

Les constructeurs ont trouvé un moyen très simple, très efficace et surtout très peu coûteux pour eux (de l'ordre de la dizaine de centimes d'euros) d'augmenter leur chiffre d'affaires en insérant cette puce qui bloque l'imprimante après un nombre d'utilisation défini au préalable. Ainsi, le consommateur est obligé de surconsommer en changeant son imprimante régulièrement.

LiPod, un autre cas

Combien d'entre vous ont eu la malchance de voir la batterie de leur iPod rendre l'âme ? La durée de vie de la batterie est en effet définie par les ingénieurs pour seulement 18 mois. Ce problème récurrent fut dénoncé par des manifestations de personnes dans les rues aux États-Unis. Si bien que certains ont osé intenter un procès contre Apple.

De plus, avant le procès, quand on appelait le service technique d'Apple, on nous répondait gentiment que changer la batterie n'était pas possible et qu'il fallait acheter un nouvel iPod.

Finalement, après le procès, Apple a mis en place un service qui s'occupe de changer les batteries et a dédommagé les plaignants.

Le gagnant ?

C'est Apple qui est gagnant dans cette histoire, car les batteries ont toujours cette même durée de vie et ils offrent un service de changement de ces dernières, qui leur rapporte encore plus d'argent.

D'autres exemples

Il y a vraiment beaucoup d'autres exemples. On peut citer les cartes SD dans les appareils photo qui peuvent également contenir des puces mémorisant le nombre de photos prises et qui tombent volontairement en panne après le quota dépassé. Ou encore, les cartouches d'encre qui elles aussi contiennent une petite puce qui empêche leur rechargement.

Certes, pour l'économie, l'obsolescence programmée est parfaite. Mais qu'en est-t-il pour le consommateur ? Ne serait-il pas plus facile de pouvoir recharger ses cartouches d'encre autant qu'on le souhaite, de pouvoir garder son imprimante plusieurs années ou encore de ne pas être obligé d'acheter un iPod tous les 18 mois ?

Le concept de l’obsolescence programmée n’est pas seulement lié aux appareils qui tombent intentionnellement en panne, mais aussi au fait d’acheter un nouvel ordinateur par exemple (plus récent, plus puissant) ou encore une nouvelle voiture (moins polluante, plus belle).
Ce principe peut donc s’appliquer à bien des exemples dans notre vie quotidienne.

Les conséquences

À cause de cette surconsommation, les pays du tiers-monde deviennent les poubelles de la planète. Tous nos déchets (ordinateurs, iPod, etc.) leur sont envoyés. Certains appareils sont récupérés car encore en état de marche et tous les autres sont jetés dans des grandes décharges, souvent illégales, qui polluent excessivement.

Notre planète n'est pas une corne d'abondance. Ce « slogan » n'effraye en rien les constructeurs qui continuent à alimenter cette civilisation basée sur le gaspillage. Ce dernier entraîne une modification radicale de l'environnement et laisse à nos futures générations un monde déchiré par l'avidité de certains.

En conclusion

Le concept d'obsolescence programmée est donc un concept ingénieux car il pousse à la consommation et cela est bénéfique pour la croissance économique. Cependant, depuis les années 1980, de nouvelles questions se posent, notamment sur l'écologie et le gaspillage. Alors que va devenir l'obsolescence programmée, va-t-elle continuer à être présente dans tous nos produits ou va-t-elle tendre à disparaître ? Serons-nous épargnés par ce monstre qui dévore nos frêles ressources naturelles ? Ou bien saurons-nous agir à temps afin d'éviter des catastrophes aussi bien économiques que d'éthiques et naturelles ?

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